De la mortalité des enfants du premier âge dans le département de Vaucluse : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 20 décembre 1901 / par Fortune Bec.

  • Bec, Fortune, 1878-
Date:
1901
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Credit: De la mortalité des enfants du premier âge dans le département de Vaucluse : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 20 décembre 1901 / par Fortune Bec. Source: Wellcome Collection.

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    /'honneur de présenter à la Faculté qui le compta comme élève, est, en bien des endroits, l'œuvre de sa collabora- tion el nous sommes assurés que demain, dans la pratique professionnelle, il ne nous ménagera ni ses conseils ni son aide. C'est au corps médical de la ville d'Avignon que nous voulons adresser ensuite le tribut de nos hommages. Aînés el jeunes ont bien voulu faire preuve, à notre égard, des sentiments clune vraie comfraternité. Mais il en est qui ont plus spécialement droit à notre reconnaissance : ce sont nos maîtres de VHôpital Sainte-Marthe, à Avignon ; le regretté docteur Taulier; M. le docteur Cassin qui a si obligeamment mis à notre disposition son laboratoire el nous a guidé dans quelques éludes micrographiques, avec tout le dévoûment el le talent que l'on sait. M. le docteur Pamard dont nous aurons dans le courant de celte thèse à rappeler les mérites el les travaux ; M. le docteur Blanc, qui a toujours été pour nous un chef de service aux con- seils éclairés el sûrs. M. le docteur Durbesson qui nous a donné maintes preu- ves de son amitié el de sa confiance ; M. le docteur Carre dont nous avons pu apprécier f amabilité el la cordialité; MM. les docteurs Luganel \incenli, dont nous sommes fier d'avoir été le collaborateur dans les services de méde- cine ; M. le docteur Goïiell, médecin principal de l'armée, MM. les docteurs Clément et Brunswick ont bien droit ici à l'expression de notre gratitude. Nous n'aurons garde (l'oublier nos collègues de l'inter- nat, ces camarades de toutes les heures, ces confidents de nos joies et de nos peines pendant les trois ans de notre vie commune. Nous tenons aussi à rappeler les excellents rapports que