Volume 2

La Chine, ou description générale des mœurs et des coutumes, du gouvernement, des lois, des religions, des sciences, de la littérature, des productions naturelles, des arts, des manufactures et du commerce de l'empire chinois / Par J.F. Davis. Ouvrage traduit de l'anglais par A. Pichard.

  • Davis, John Francis, 1795-1890
Date:
1837
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Licence: Public Domain Mark

Credit: La Chine, ou description générale des mœurs et des coutumes, du gouvernement, des lois, des religions, des sciences, de la littérature, des productions naturelles, des arts, des manufactures et du commerce de l'empire chinois / Par J.F. Davis. Ouvrage traduit de l'anglais par A. Pichard. Source: Wellcome Collection.

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    1 | question dans les ° LA percemens de roves et dalignemens Que” teau À S'agitent, et qu'il est indispensable de donne: à os intérêts les a+: - int 4 | ranties Ir | 1s étendues de justice et dimpartialité. is + ia tb a par | Deux yusstions forl importantes, au mailiou dune foule d'autres’. nent | qui ve le sont guère moins, el dont nous aurons plus tard à nous, cea- | occuper, excilent en co moment l'attention des administrateurs dela mar- | cité et des propriétaires dans certains quartiers de Paris. Lune est; ‘| rélative au prélèvement du dixième, par le trésor, sur le produit de. À l'octroi de la ville de Paris; l’autre concerne les expropriations pour âgé { cause d’insalubrité de certaines maisons principalement habitées nt à | par des ouvriers. Sur le premier point, les intérêts dé la ville dé ” Paris, longtemps défendus avec énergie par son conseil électif, ont . été peut-être un peu trop facilement abandonnés par la commis — .- { sion municipale. Si la ville de Paris est riche en apparence ; si som —R. | budget est de 45 à 50 millions de francs, il ne faut pas oublier que” ~ 1 c'est au prix des charges écrasantes que supportent ses habi- e ou | tans et qu’il conviendrait bien de dimimwer un peu. ove | Tine faut donc pas tailler dans ce budget comme en plein drap je ne | et permettre à l’état d’y puiser trop largement. Le temps des en~ * À reprises téméraires, dés constructions imprudentes, des embeiliése+ : avait | mens inconsidérés doit être passé. Il faut penser à liquider le passé, — fille | à éteindre les dettes, à réparer les désastres, et surtout, comme nous télle | Pavons dit, à dégrover les contribuables qui succombent sous fe. 1 poids de leurs charges. pC Rie, BON TES & PCR =\à 7» En ce qui concerne l’expropriation pour cause @insalubrite, c'est - | là une mesure dont l'hygiène publique et lhumeulté avaient fait: is pas | une nécessité, et 11 n'y a pas lieu de s'étonner que là commission > À municipale Vait parfaitement compris. Nous aurons l'océasion dé iez de | revenir sur ce suist, | = a | Parmi les grandes eités de France qui seront .avec Paris. l’objet p elle | de naire constante sollicitude, la ville de Lyon tiendra une des pre. — À, | mières places, lant à cause de son, importance et de son étendue À qu’à raison du plan de réorganisation municipale dont il est vive- terre, | ment question pour elle. Qn sait que l’agslomération lyonnaise se — me la | compose aujourd’hui de quatre communes : Lyon, la Guillotère, la. emme | Croix-Rousse et Vaise. = ta etenir. Chapune de ces communes a une administration disligéte et ui? er. — | budget spécial. En les réunissant, on réaliserait san:,-Contredit une 0 amélioration importante sur le principe de laqueyé tout le monde « ui. est à peu près d'accord. Mais à quelles conditions se fera cette union}. mné à | comment répartira-t-on les dettes antérien’#s de ces communes et les.charges ordinaires de chaque budge? C'est 1a que git la diffi- gnait- | culté, et c’est précisément ce quo n0'4$ nous proposons de peser et ns de discuter ultérieurement. _ P ss oe nese Après avoir ainsi indiqué # gyands trails quels seront les limites, lors il } le but et la portée de Ce&& Reyue, il ne nous reste plus qu’à deman- LT der-aux chefs et aux membres des diverses municipalités de France, - s son | et senéralement à tous ceux que le sujet intéresse le'secours de leurs > | infermations 6! l'appui de leurs conseils. Nous pourrons ainsi con otam- Etinuer notre tâcha avec courage et l’accomplir avec conscience st- ioncés, | non avec talent, nr La ae , PAUL VEDILE. ‘4 in ré- « À, i tion el rene FT TRIBUNAL DE COMMERCE. 5° °° A uns Déclarations de faillites. Le “+ CSL | pu 22 février 1850.—MERMILLOD, serrurier-médupicien, rue St-Philippe-St-Mard tin, Juge-ceram, M. Thouret; synd. prov, M, Tiphagne, rue du Fg-Montmar{za, BL