Notice sur les eaux minérales d'Yverdun / par H. Olloz.

  • Olloz, H.
Date:
1840
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Credit: Notice sur les eaux minérales d'Yverdun / par H. Olloz. Source: Wellcome Collection.

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    molasse, et s’élève à 53 Va pieds de hauteur, dans le puits qui encaisse sa source; sa température prise au fond du puits, le 16 Décembre 1839, était de 23 Va0 centigrades; en été elle va jusqu’à 25°. Cette diffé¬ rence tient à ce que le puits étant d’une dimen¬ sion assez considérable et contenant, par suite , une grande masse d’eau, dont le renouvellement n’est pas complet, elle subit l’influence des parois, et éprouve, ainsi un léger abaissement de température. Son poids spécifique, comparé à celui de l’eau distillée bouillie et ramenée à la même température, est de 1001,2. Cette eau ne dépose pas de matières minérales par le repos, mais les conduits exposés à l’air qui servent à son écoulement, les bassins découverts qui la reçoi¬ vent , le ruisseau qu’elle forme en s’éloignant de sa source, ont leur fond et leurs parois recouverts d’une substance muqueuse azotée , qui a été observée d’a-^^ bord dans les eaux de Barèges et qui pour cela avait yj'L if: reçu le nom de haregine y qui ensuite fut nommée j^6Yi glairinel à cause de sa consistance, si-sulfurant cause de sa ne-twe , qnamb-eit-Leut retrouvée dans un gna-n-d nombre d ■ au-t-r-es -etti **'1* J La glairine se dépose sur les parois du puits, et par¬ tout où l’eau se trouve en mouvement, ou»dans un certain état d’agitation. Il se développe en outre, une substance organisée, contenant les mêmes principes ^.knUn.fj j- que la précédente, essentiellement sur les bords des // bassins, et partout où l’accès de l’air a été le plus fa¬ cile et le plus continu. C’est une sorte de conserve blanche, formée de K U A fdamens très déliés, composés eux mêmes de cel- \f. T)(J ârq vt- dfqittvJiCJ C'h $0 /as (/Il/Kt*' ( fif , fi fl?fSiS fiJffO-