Leçons cliniques sur les maladies des voies urinaires : professées à l'Hôpital Necker.

  • Guyon, Jean Casimir Félix, 1831-1920.
Date:
1881
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Credit: Leçons cliniques sur les maladies des voies urinaires : professées à l'Hôpital Necker. Source: Wellcome Collection.

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    rare, 4 37; — dans le deuxième type de forme aiguë précoce, fréquent et abondant; — sa valeur pronostique, 444, 581. N NÉOPLASMES PELVIENS. — Cause de ré- tention^ 189. NÉPHRITE. — Voir Rein. NÉVRALGIE SCIATIQUE.— Voir Scialiqw. NÉVROPATHIE. — Cause de mictions fréquentes, 21 ; — de rétention, 100; — de polyurie passagère, 420. Nitrate d'argent. — Doses auxquelles on l'emploie ; la vessie de la femme en supporte des doses plus élevées que celle de l'homme, 933. — Action dif- férente suivant la quantité, 934. Nuit. — Augmente la fréquence des mictions et la polyurie chez les pros- tatiques, 23, 24, 28, 411 ; — dimi- nue les douleurs des calculeux, 28. 0 Odeor URINEUSE. — Dans la fièvre urineuse; sa valeur, 446. Oligurie. — Relative ou absolue, 403. — Chiffre minimum observé, 403. On l'observe : 1» dans les cas de lé- sions graves; 2 pendant les accès de fièvre, ses caractères, ses causes, 402, 406, 44 6 ; 3 à l'approche de la mort et à l'occasion d'opérations, 403. — Prémonitoire de la mort, 403, 405. — Mode d'apparition et de disparition, 403, 404. Valeur diagnostique faible, 408. — Valeur pronostique grande, 408. Opium. — Son utilité dans la rétention complète aiguë d'origine uréthrale,8C, 104. Oxalate de chaux. — Voir Urines. Palpation directe. — Sa valeur dia- gnostique dans les néphrites; manière de la faire, 630, 632 ; — dans la ré- gion hypogastrique pour Texploration de la vessie ; manière de la faire, 630, 637. (Voir palper hypoçiastrique.) Doit porter : l» sur les régions ilia- que et inguinale, 638 ; 2° sur le scro- tum et l'épididyme, 638; 3° sur la région périnéale et pénienne, 640. Sa valeur dans tous ces cas. (Voir Tou- cher.) Palper hypogastrique. — Très impor- tant ; doit toujours être combiné au toucher rectal, 126, 155 à 158, 636, 637. Paludéenne (fièvre). — Parallèle avec l'accès du le^ type de la fièvre uri- neuse, 464. Paraplégie. — Cause de rétention, 71 ; d'incontinence, 205. Parotidite suppurée. — Dans le 2« type de la forme aiguë de la fièvre uri- neuse, 450. Percussion. — Valeur diagnostique faible, 652. PÉRINÉALE (tumeur). ■— Symptôme de traumatisme, uréthral, 78; d'infil- tration sanguine; peut causer la ré- tention d'urine, 189. Périnée. — L'existence de cicatrices à son niveau est importante à constater, 639. Sa loge inférieure est intéressée dans les traumatismes de la région péri- néo-bulbaire, 174; — sa loge moyenne est intéressée dans les trau- matismes de la portion membra- neuse, 187. (yoir Incision.) Péritonite, — Cause de rétention, 73. Pharynx. — Rouge dès le début dans le 2^ type de forme aiguë, 4 44. Phénique (acide). (Injection vésicale de), est mal supporté, 935. Phosphatés. — Voir Urines. Position du chirurgien pour l'explora- tion vésicale et la lithotritie, 753 ; pour le cathétérisme curviligne, 875. PisSEURS DE PUS. — Voir Pus. Polyurie, — Caractères. — Sa fré- quence chez les urinaires, 241 ; — quantité variable, 223, 409 ; —n'est pas proportionnelle à la quantité de boisson ingérée, 410. — Urine d'or- dinaire acide. D= 1,005 à 1,010; les éléments normaux sont en propor- tion normale, l'acide urique est tou- jours moindre, 413. Plutôt nocturne que diurne, influence de la prostate, 409, 425. Polyurie noclurnechez la femme, 411. Polyurie trouble, maximum de 4 à 5 litres; ou claire, 412, 413, 417^