La luciniade, poëme en dix chants, sur l'art des accouchemens.

  • Sacombe, Jean-François, 1750-1822.
Date:
An VII [1799]
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Credit: La luciniade, poëme en dix chants, sur l'art des accouchemens. Source: Wellcome Collection.

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    Quant à votre en sus, nous savorts, en dépit de voîrë modestie, que votre organe n’est pas si foible que vous voudriez nous le persuader , puisque vous portez à-la-fois sur votre dos trois hommes assez lourds , en sus leur célé- brité , en sus leur réputation brillante, en sus des armes beaucoup plus fortes y dites-vous, quil ne leur en fau- drait , etc. Mais c'est trop s’arrêter à une production éphémère / dont les p’acards, dans Paris, ont été plus nombreux qu« les exemplaires. Comment les accoucheurs césariens ont-ils répondu au défi loyal et solemnel que je leur donnai Van II ? 11°. Par des diatribes aussi ridicules qu’insignifiantes ÿ dont la plus récente est parvenue à ma connoissance par le plus grand des hasards. «Maître Antoine Planchons ancien membre du Collège de Chirurgie de Paris , maître Pianchon , dont j’ignorois l’existence , rient de me donner lâchement un de ces coups de pieds qui faisoient dire au lion de la fables Bis videor mori. » A propos de l’ouverture du cadavre de la fille Duvaî s morte avant l’accouchement par l’impéritie d’une sage- femme, le 17 fructidor an VI , maître Antoine Plan- chon, du fond du Marais, a eu la lâcheté de lancer contr® moi, sans me nommer , et de faire distribuer sous la manteau à ses frères et amis, les Césariens de la Société dite de Médecine, en prairial de l’an VII, cent exem- plaires d’un pamphlet de seize pages in-8°. , de l’impii- merie de Millet, rue de la Tixeranderie, n“, 17, dans le- quel on lit la diatribe suivante (1) , faite de main de maître Antoine. (1) Page i3 , ligne J*