Sur l'opportunité de la ligature de la jugulaire dans les thrombo-phlébites du sinus latéral et de la jugulaire : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 30 novembre 1912 / par Germain Vieu.

  • Vieu, Germain, 1885-
Date:
1912
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Credit: Sur l'opportunité de la ligature de la jugulaire dans les thrombo-phlébites du sinus latéral et de la jugulaire : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 30 novembre 1912 / par Germain Vieu. Source: Wellcome Collection.

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    ('*16 a son école et nous sommes désolé d’être resté dans la pratique si loin du maître. L’amitié», nous pourrions presque dire paternelle, de M. le professeur Mairet, doyen de la Faculté de méde- cine, n’a pas seulement guidé l’incertitude de nos pre- miers pas dans ces études médicales que nous abordions après de nombreuses hésitations. Si M. Mairet, en fai- sant aimer en lui le maître, n’avait fait que nous rendre plus attrayante la science qu’il nous enseignait, il n’au- rait exercé sur nous que la plus faible part de cette grande autorité morale qu’il impose à tous ceux qui ont le bonheur de pouvoir compter parmi ses élèves. Son influence sur nous a été d’un ordre plus élevé. En vivant dans son intimité nous avons compris combien la probité scientifique était inséparable de la probité du caractère, et c’est là, croyons-nous, le plus bel enseigne- ment qu’un maître puisse donner à de futurs médecins. Nous n’oublierons jamais la cordiale simplicité et l’inaltérable patience avec lesquelles il s’efforça de faire de nous'un médecin instruit. Notre plus vif regret sera toujours de ne pas nous être montré plus digne de tant d’affectueuse sollicitude. M. le professeur Vires nous a toujours accueilli avec tant de cordialité, il a été pour nous d’une bonté si par- faite, que nous ne savons comment lui en exprimer notre reconnaissance. Nous le prions d’accepter ici, avec nos sincères remerciements, l’assurance de notre vive et res- pect u è u s e a (Te c ti o n. Nous avons contracté une dette de reconnaissance envers M. le professeur Soubeyran, qui a été pour nous à la fois un maître et un ami. Nous nous souviendrons toujours des nombreuses preuves d’affectueux intérêt qu’il nous a données. r