On a variety of false aneurism / [Read to the Royal Medical and Chirurgical Society, March 8th, 1842].

  • Liston, Robert, 1794-1847.
Date:
[1842]
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Credit: On a variety of false aneurism / [Read to the Royal Medical and Chirurgical Society, March 8th, 1842]. Source: Wellcome Collection.

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    par un liquide semblable a de la lie de vin, et par la matiere de l’injection. Nous observances qu’il n’y avait pas de ces couelies concentriques qui se trouvent ordinairement appliquees sur les parois des tumeurs anevrismales. <c Ces matieres enlevees, nous aper^umes F ouverture du ster¬ num qui faisait communiquer ensemble les deux parties de la tumeur. Cet os etait tres-altere, et tombait par parcelle au moindre effort. Dans le fond de la seeonde partie de la tumeur, on distinguait la face anterieure de 1’aorte sur laquelle cette tumeur reposait. Ce gros vaisseau n’offrait aucune dilatation de ses membranes; il avait son calibre ordinaire, mais presentait une ouverture reguliere ayant une ligne et demie de longueur sur une ligne de largeur. Ce pertuis correspondait a la face ante¬ rieure de la courbeur aortique, tout pres du tronc bracliio- cephalique. cc Cette histoire demontre que la science est herissee de diffi- cultes, et sous le rapport du diagnostic, qui quelquefois est tres- obscur, et sous le rapport du traitement, qui, presque toujours, est impuissant. Je ferai encore remarquer que, dans ces cas de tumeurs sanguines communiquant avec la cavite d’une artere par une tres-petite ouverture, les pulsations isochrones a celles du pouls sont insensibles dans les premiers temps de la maladie, lorsque surtout la tumeur est encore placee profondement dans l’epaisseur de nos tissus, et que dans la derniere periode du mal, le mouvement des parties affectees est moins une pulsa¬ tion distincte qu’une espece de vibration ou de tremoussement. Ce phenomene merite toute 1’attention des gens de Fart; il peut eclairer leur conduite, et leur faire juger a 'priori si la maladie offerte a leur observation est une tumeur sanguine produite par la dilatation du tube arteriel, ou par F erosion d’un point des parois de ce canal.” P. S. The foregoing paper contains a series of cases which are believed to bear on each other, and of a nature not generally recognised by the profession. That the disease, of which they are instances, is not true aneurism, there will remain it is pre¬ sumed little doubt on the mind of any one who peruses the paper attentively. %>